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Tam-tam & caetera (pour garder le fil !)

Tam-tam & caetera (pour garder le fil !)
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19 mai 2008

Turbulences

Allons nous nous replier sur nous mêmes et cesser de nous envoyer au moins un clin d'oeil signifiant "je suis là, je vous accompagne, je ne perds pas le fil, nous sommes toujours une famille exceptionnellement soudée"?

Tous, nous avons une vie pas forcément facile, avec un moral fluctuant, des crises, des passages à vide, des trous de mémoire ou de tonus pour les plus âgés, des occupations envahissantes ; mais il n'empêche que chaque rencontre non virtuelle est toujours chaleureuse ; alors, pourquoi ne pas continuer aussi sur le blog?

Morgane a une nouvelle petite cousine de pile un an de moins qu'elle chez François-Marie qui se marie cet été ; Lisa est allée au Québec, elle a peut-etre des choses à raconter, elle l'écrivaine ; Vincent vient d'avoir 19 ans ; Anne 40 Jean-Yvon aussi (demain); (si le calendrier des anniversaires vous intéresse, je l'ai, même si parfois j'oublie de le consulter).

Bref, revenez!!

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4 janvier 2008

Bonne année !!!

Voilà, le Tam-tam retrouve ses couleurs habituelles.

A l'heure des souhaits et des bonnes résolutions, que peut-il vouloir pour lui même, le Tam-tam ? Un peu plus de contributions sans doute...

Les 27 messages de l'année (merci Lili, Virg' & Stef) et leurs commentaires ont été lus par 3035 visiteurs: souhaitons que dans le nombre figurent de nombreux Berrit&associés passés sans laisser de traces, mais qui auront trouvé ici et là un peu du lien qui fait cette vaste famille.

2007

(fréquentation 2007)

23 décembre 2007

3 ; 4 ! Petit papa...

Voilà, joyeux Noël à tout le Tam-Tam !!!


millésime 2007

Vidéo envoyée par basilixcom

 

8 décembre 2007

Bouille de Morganette le jour de ses 1 an!

Morgane et le chocolat le jour de ses 1 an.

119_1904

119_1925

4 décembre 2007

SAINTELYON 2007

C’est reparti !

Cette année, je suis (presque) mince, ayant perdu 7 kilos depuis septembre et (presque) bien entraîné. Mes articulations ne me font (presque) plus souffrir, si ce n’est que dernièrement je me suis remis à sentir un peu plus mes genoux et ma plante de pieds.

J’ai (presque) bien préparé mon coup, en portant des chaussures de sport toute la semaine pour m’économiser, et en posant mon vendredi pour me reposer. Comme Anne a (presque) tout fait comme d’habitude, je me suis tapé l’intendance de la maison et les gamins, seul toute la semaine, le vendredi étant finalement réservé aux grandes courses, grand rangement, machines etc… C’est qu’il faut prévoir l’arrivée en masse de la belle famille, l’occasion « Sainté » s’ajoutant aux visites à Marcus, petit cousin lyonnais tout juste né, fils de Vera et Richard. J’oubliais : pas de nounou vendredi, de sorte que vendredi soir je suis (presque) plus stressé et fatigué que si j’avais travaillé. Vivement la course que je me repose !

Presque…

Samedi après avoir préparé le déjeuner de la smala, je me mets en grève : glandouille, discussion « course » avec le beau-frère, hydratation (4 litres environ dans la journée…).

Le dernier coureur de la bande arrive vers 17 heures : Stef de Cham. On mange de pâtes après avoir préparé les affaires et vers 19h45, on part prendre de train pour Saint Etienne : Seb le beau frère, Stef de Cham’ et Môa.

Arrivée au Parc des expos de Saint-Etienne avant 22 heures : formalités, habillement, hydratation…

Minuit ! Nous sommes sur la ligne de départ, à bien rigoler. Il fait très doux, et temps sec bien qu’il ait plu toute l’après midi.

En avant !. Pour moi, les choses sont différentes de l’an passé, puisque ma forme physique est très supérieure et que j’ai moins de craintes quant à mes articulations. J’enroule donc, selon mon critère à moi : tant que ma respiration reste normale (pas de halètement du coureur) c’est que je suis sous ma limite, et qu’à ce rythme je peux durer.

Courir, sucer un gel énergétique, boire… Oups, ça grimpe quand même leur truc ! Avec mes histoires de genoux l’an passé, je ne m’en souvenais pas…

Après 8km, la campagne commence et on passe sur chemin… Oups, y’en a plein des chemins, bien gras ! Avec mes histoires de genoux l’an passé…

Pour l’instant, je cours (presque) tout le temps, sauf dans les raidillons qui sont nombreux dans la première moitié de la course.

Après 16 km et 1h49 et 3 pipis dans le fossé, me voici au premier ravitaillement, celui de Saint-Christophe en Jarez. Je ne suis pas très frais et j’attends mon second souffle.

P…, ça grimpe encore ! Et ce terrain super-gras, ça colle, ça glisse, ça éclabousse, ça trempe les pieds. Je me sens techniquement handicapé, car quand d’autres parviennent à courir dans la boue, moi je dois marcher pour ne pas me flanquer dans une bauge ou me fusiller une cheville. Ben, j’avais qu’à m’entraîner à la campagne au lieu de rester au bord du Rhône dans Lyon ! Donc, dans la bouillasse je suis lent, mais plus rapide dés qu’il y a du goudron.

Ouille, ça caille ! Le ciel sans nuage a bien fait baisser la température. Ca doit faire froid au c… du grand nombre de personnes accroupi au bord du chemin (ils s’éclairent avec leur frontale, c’est croquignolé !), « gastro » oblige ! Ca pètezouille sec dans la colonne des coureurs, moi compris…

Km 28, 6h30 : voilà Sainte-Catherine, premier point où sont récupérés ceux qui abandonnent. Je me ravitaille et hue ! Les jambes, le cœur, les poumons vont bien. Mais bizarrement je ressens de temps en temps des alertes au niveau des genoux, et ça me stresse.

Le terrain est vraiment épouvantablement glissant, et voici que ce profile le bois d’Arfeuille, célèbre longue descente casse-gueule. Cette année , au menu, feuille morte gluantes sur galets glissants sur boue liquide entre les racines d’arbres traîtresses: humm !

Ouille, je suis en bas d’Arfeuille et là, pas de doute, mes genoux se réveillent ! C’est cramé pour les descentes comme l’an passé.

Mince, d’après ma carte, les descentes commencent !

Sur ce constat morose, une sévère montée que j’absorbe en doublant tout le monde (le « monde » avec qui je « cours » monte en marchand ; ce monde est loin de la tête de course) m’amène au ravito de … Saint Genoux (sic). Et moi je sais qu’après une montée, y’a 8 kilomêtres de descente raide pour rejoindre Soucieu.

Je commence à broyer du noir, sentant se profiler la même galère que l’an passé. En plus, j’ai froid.

Arrivé, au Ravitaillement de Soucieu (km 45,en 6h14), je le suis !-)))

Frigorifié d’abord, et complètement écoeuré par mes articulations. Dans la descente, aux genoux se sont ajoutés les chevilles et la plante des pieds. Je m’assois 2 mn le temps d’hésiter à repartir, et discute un peu avec un coureur qui se croit presque arrivé : ça serait presque vrai si on partait « tout neuf » de Soucieu, car ça descend presque tout le temps, et en 2h les 24 km sont bouclables fastoches !!!

Mais on vient pas d’partir…

Plus démoralisé que l’an passé, je repars. J’ai froid et je ne peux presque plus courir ! Je mets un bonnet, remonte toutes mes fermetures-éclair et continue vers l’échafaud. J’en suis à attendre impatiemment la sévère montée qui suit la traversée du Garon (un ruisseau) : et en effet, je la monte facilement, là encore en doublant tout ce qui me précède. Et puis au moins, en haut, je suis chaud.

La moulinette calcule si ce qui reste de Stéphane et de ses moignons pourra franchir la ligne d’arrivée dans les délais fixés : entre 9h30 et 10h (11h30 l’an passé). A priori, c’est non.

MERDE ! J’essaie de parfois de recourir, mais après 200m d’une foulée merdique mes jambes s’effacent sous la douleur.

La suite est à l’avenant : marche rapide sur la plat, marche lente dans les descentes, et du gaz dans les rares montées. Je rattrape en gars au moment de la descente d’une volée d’escaliers : à sa démarche, je reconnais un « genoux ». Lui hésite encore à continuer. On se double et redouble en marche « rapide » jusqu’à la place Bellecour, puis on se met « à la colle » : s’est sympathique et on trompe le temps ; pas la souffrance qui devient difficilement tolérable. Il reste 6/7 kilomêtre que je cours ici habituellement sans y penser : là, c’est un CAU-CHE-MARD.

Cette année la course course fait 1.5 km de plus car on arrive au nord de la ville, ce qui signifie que je passe à 500m. de la maison alors que je sais qu’à mon rythme, il me faudra 1h30 pour faire les 6 kilomêtres qui restent.

Voilà la Doua. Un dernier virage : derrière, toute la famille est là à crier des encouragements. Ca fait vraiment chaud au cœur. Je dis à mon compagnon de courir pour les derniers 200m, et entouré des garçons, me mets à trottiner pauvrement. Heureusement qu’il y a Basile Arsène et Romain autour de moi, car sinon je n’y arriverais pas.

C’est fini ! Je retrouve au foyer des coureurs Sébastien et Stéphane qui ont eux aussi connu de vraies galères et ont frôlé l’abandon. Je suis le « champion » cette fois ci, car bien que beaucoup plus lent qu’eux, je suis le seul à avoir amélioré mon temps. Tous trois avons eu froid, des problèmes avec le terrain et la sensation que tout était plus dur que l’an passé. Sébastien qui pourtant a magnifiquement couru cet été l’UTMB  ( une autre dimension : http://www.ultratrailmb.com/accueil.php ) s’est « pété une cuisse » et Stéphane a difficilement surnagé : nous sommes tellement fatigués que nous avons à peine eu le temps d’en parler avant qu’ils ne repartent.

(mes temps et classements, sur 4400 partants en raid individuel)

temps

(2752 coureurs ont été classés, le dernier arrivant en 15h24 et 4 secondes...)

Alors voilà : 10h30 et 45s pour 69.5 km et la même souffrance que l’an passé. J’ai loupé mon objectif chrono et je me dis que ces courses sont trop longues et dures pour mes articulations. J’ai peut être désormais la « caisse » pour faire 2 heures de moins, mais la carcasse ne suivra jamais… Les filles, elles, pensent s’inscrire en relais pour l’an prochain : rendez-vous sur ce blog, donc !

PS. 32 heures après l’arrivée, je suis (presque !) frais comme une fleur : alors, l’an prochain, peut-être…

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30 novembre 2007

NAISSANCE

chez François-Marie, d'une petite fille née le 23/11; prénommée Romane ; 49 cm, 3 kg.

A la fin du week end, vous aurez des photos, dans l'album "coat".

LA FAMILLE continue à s'étoffer.

26 octobre 2007

Morgane a.... 11 mois!

Je sais.... vous attendiez avec impatience! Morgane a eu 11 mois mercredi!

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25 octobre 2007

One more...

C'est reparti: dans la nuit du 1 au 2 décembre, je courrai (après quoi ? Hein Lili !) mes 69km en pensant très fort à l'arrivée...

PARCOURSSANITE

dble cliquer pour agrandir

Ouais, c'est un peu long, je sais, et ça monte, aussi: mais l'an passé, ce sont les descentes qui m'ont le plus fait souffrir.

denivel_sainte

dble cliquer pour agrandir

Et cette année, je suis entrainé (une vingtaine de kilomètres/semaine), aminci (6/7 kilos quand même !) et j'ai même des chaussures neuves (mais j'ai mal aux pieds: compensation de ce que mes genoux semblent me foutre la paix ?)

Voilà !

9 octobre 2007

La voilà! Morgane a eu 10 mois, je ne sais plus combien de dents et quelques virus plus tard....

Vive la garderie.... Morgane expérimente toute sorte de virus! Un plaisir pour les parents!!!! Entre deux virus hebdomadaires, elle a eu 10 mois!!!!

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3 octobre 2007

j'm'inquiète !

Morgane ne vieillit pas, elle garde le physique et le mental du mois d'août ! elle ne perce pas de nouvelles dents, ne fait pas de bêtises à quatre pattes et elle rend ses parents muets.

Pendant ce temps , en france, on vit ! on s'enrhume, on a froid, chaud, on ne sait plus; on s'indigne, on surveille la prochaine grève : sera-t-elle gigantesque ou ne provoquera-t-elle que l'indifférence ?

Des, à Toulon, organisent un vernissage très réussi des oeuvres d'une certaine Jeanne et se baignent à 19h, si si ! d'autres en Normandie découvrent et savourent le tête à tête après le départ des enfants ; d'autres , plus jeunes, font l'entrée et la sortie des écoles puis planchent sur les devoirs, d'autres jardinent, lisent, écrivent, photographient..

Et au Québec, et à Lyon, il ne se passe rien ?

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